Rejoins l’équipe d’organisation du Salon Culture et Jeux Mathématiques !
Animath se lance à la recherche d’un•e stagiaire pour assurer l’organisation, la coordination et la communication du 27e Salon Culture et Jeux Mathématiques !
Tu es étudiant·e en culture, communication ou médiation scientifique/culturelle et tu as d’excellentes compétences en informatiques, PAO, et gestion de projet ? Alors ne perds pas de temps et rejoins notre équipe !
Qu’est-ce que le Salon Culture et Jeux Mathématiques ?
Le salon Culture et Jeux Mathématiques est un événement de 4 jours de médiation des mathématiques à destination des scolaires et des familles, mobilisant chaque année une soixantaine d’exposant·es et une vingtaine de conférencier·es, des quatre coins de la France et du monde ! Il se tient chaque année à la fin du mois de mai sur la place Saint-Sulpice, dans le 6e arrondissement de Paris. L’organisation du salon est réalisée par un consortium d’associations, de sociétés savantes et de fondations, coordonné par Animath.
Quelles sont les missions ?
Le/la stagiaire participe activement à la préparation et au bon déroulement de l’événement, en collaboration avec l’équipe de coordination. Ses missions incluront notamment :
Logistique et coordination : suivi du planning, préparation des comités, réalisation de devis, relations avec les prestataires (graphistes, imprimeurs, traiteurs, etc.), implication dans le comité scientifique et le comité d’organisation,
Communication digitale : mise à jour et animation du site internet (WordPress), gestion des réseaux sociaux (Twitter/X, Instagram, Facebook).
Accompagnement des participants : contribution à la recherche de nouveaux exposants et conférenciers, suivi des exposants (60 à 70) et conférenciers (15 à 20).
Production de contenus : conception de supports de communication, rédaction de communiqués et dossiers de presse, élaboration du bilan du salon.
Découvrez la mini-série « Voyage au pays des égalités » proposé par VideoDiMath, projet vidéo d’AuDiMATH, un projet du CNRS et imaginée pour la Semaine des mathématiques 2026.
Dans cette nouvelle mini-série disponible sur Instagram, découvrez les mathématiques sous un nouveau jour, comme un outil pour développer le sens de la justice et de la solidarité, tout en encourageant l’égalité entre filles et garçons dans l’accès aux formations et aux carrières scientifiques !
Dans le dernier épisode de cette série, Cyril Letrouit invite les abonnés à plonger dans une nouvelle inégalité mathématique : l’inégalité dite « des mauvais élèves », selon laquelle la moyenne des carrés est toujours supérieure ou égale au carré de la moyenne. Une vidéo courte et ludique à découvrir absolument, parfait pour éveiller la curiosité des jeunes et des passionnés de maths ! Regardez bien jusqu’à la fin une petite surprise vous attend.
Merci à Cyril Letrouit d’avoir cité Animath dans cet épisode ! On adore voir les maths mises à l’honneur de manière si créative.
VideoDiMath, est un projet vidéo d’AuDiMATH qui rassemble des ressources audiovisuelles de diffusion des mathématiques destinées aux enseignants, chercheurs, étudiants, lycéens, collégiens et plus largement à un public curieux. Chaque année, un concours à destination des collèges et lycées est organisé. Les vidéos d’une durée maximum de 3 minutes permettront aux élèves de se poser une question de mathématiques, de la résoudre et de l’exposer avec dynamisme pour montrer que les mathématiques sont autour de nous, actuelles et plaisantes.
Qu’est ce que le cycle « Un texte, une aventure mathématique » ?
Les conférences du cycle « Un texte, une aventure mathématique » mettent en lumière les recherches mathématiques actuelles en les replaçant dans leur contexte historique. Ces conférences sont gratuites et destinées aux classes de première et terminale ainsi qu’au grand public. La participation des élèves se fait sur inscription :
Collective, par les enseignants pour leurs classes (location de car possible) ;
Individuelle, pour les élèves inscrits à titre personnel.
Il est également possible de rencontrer un chercheur ou une chercheuse en mathématiques pour échanger sur son parcours et son sujet de recherche. Enfin, une visite guidée du site François-Mitterrand (1h30) peut être réservée à 16h30 avant la conférence, prévue à 18h au Grand auditorium.
Ce cycle est co-organisé par la Société Mathématique de France et par la Bibliothèque nationale de France.
Résumé de la conférence
La Géométrie, avec La Dioptrique et Les Météores, est une des trois annexes du Discours de la Méthode (1637), l’un des textes philosophiques majeurs de René Descartes. L’édition de 2009 annotée par André Warusfel nous donne accès au contenu de ce texte qui a changé le visage de la géométrie. Descartes y pose les bases d’une méthode encore toujours enseignée au lycée pour résoudre certains problèmes géométriques : analyser le problème pour le convertir en équations, en attribuant des lettres (x, y,…) aux différentes inconnues du problème : longueurs, angles, coordonnées… Descartes s’attache alors à classer les problèmes et les équations par « degrés » croissants, espérant ainsi trouver une méthode systématique pour trouver les solutions. Ce texte sert à la fois d’exemple au Discours de la Méthode, mais aussi de point de départ, l’abstraction mathématique étant pour Descartes le terrain le plus sûr sur lequel développer la méthode qu’il appliquera ensuite pour progresser dans tous les domaines, scientifiques et moraux.
Pour beaucoup de mathématiciens cependant, considérer un problème géométrique uniquement sous l’angle analytique ne signifie pas le « comprendre », et la conférence sera l’occasion de réfléchir aux différentes manières de faire de la géométrie. Le Discours de la méthode nous livre aussi des réflexions très personnelles sur les conditions de travail du chercheur, abordant des questions plus que jamais d’actualité : la nécessité de publier, l’intérêt du travail solitaire ou en équipe, le lien entre mathématiques et autres sciences, et enfin les manières d’affronter la censure.
Qu’est ce que le cycle « Un texte, une aventure mathématique » ?
Les conférences du cycle « Un texte, une aventure mathématique » mettent en lumière les recherches mathématiques actuelles en les replaçant dans leur contexte historique. Ces conférences sont gratuites et destinées aux classes de première et terminale ainsi qu’au grand public. La participation des élèves se fait sur inscription :
Collective, par les enseignants pour leurs classes (location de car possible) ;
Individuelle, pour les élèves inscrits à titre personnel.
Il est également possible de rencontrer un chercheur ou une chercheuse en mathématiques pour échanger sur son parcours et son sujet de recherche. Enfin, une visite guidée du site François-Mitterrand (1h30) peut être réservée à 16h30 avant la conférence, prévue à 18h au Grand auditorium.
Ce cycle est co-organisé par la Société Mathématique de France et par la Bibliothèque nationale de France.
Résumé de la conférence
Le calcul des variations moderne prend son essor entre le 17e et le début du 19e siècle avec, entre autres, les travaux fondateurs de Newton, Euler et Lagrange. C’est dans ce contexte que Louis Augustin Cauchy introduit formellement en 1847, dans une note brève à l’Académie des Sciences, la méthode de descente de gradient. Presque anodine lorsque Cauchy l’invente, cette méthode a pourtant pris au fil des ans une importance colossale en optimisation numérique, au point d’être aujourd’hui un outil clé en intelligence artificielle. L’exposé reviendra sur les grands principes du calcul des variations et de l’optimisation, sur les aspects théoriques et numériques de la méthode de gradient, de Cauchy à aujourd’hui, et enfin sur ses applications et ses développements modernes : descente de gradient stochastique, optimisation par lots, méthodes inertielles, entraînement de réseaux de neurones…
Qu’est ce que le cycle « Un texte, une aventure mathématique » ?
Les conférences du cycle « Un texte, une aventure mathématique » mettent en lumière les recherches mathématiques actuelles en les replaçant dans leur contexte historique. Ces conférences sont gratuites et destinées aux classes de première et terminale ainsi qu’au grand public. La participation des élèves se fait sur inscription :
Collective, par les enseignants pour leurs classes (location de car possible) ;
Individuelle, pour les élèves inscrits à titre personnel.
Il est également possible de rencontrer un chercheur ou une chercheuse en mathématiques pour échanger sur son parcours et son sujet de recherche. Enfin, une visite guidée du site François-Mitterrand (1h30) peut être réservée à 16h30 avant la conférence, prévue à 18h au Grand auditorium.
Ce cycle est co-organisé par la Société Mathématique de France et par la Bibliothèque nationale de France.
Résumé de la conférence
Mathématicienne et physicienne autodidacte, Sophie Germain (1776-1831) est une des toutes premières à prouver des résultats significatifs dans le sens du dernier théorème de Fermat.
Inspiré par un exercice de mathématiques remontant à l’antiquité, ce dernier, décédé en 1665, écrit dans la marge d’un livre de sa bibliothèque l’énoncé suivant, publié après sa mort : « /Si p est un entier supérieur ou égal à trois, alors la puissance p-ème d’un entier strictement positif ne peut s’écrire comme somme de deux autres puissances p-èmes./ » Jusqu’au début du XIXe siècle, la preuve de cet énoncé n’est connue que si p est un nombre divisible par 3 ou 4. Les travaux de Sophie Germain sur le sujet ne seront pas publiés de son vivant et sa contribution ne sera révélée que progressivement. Ses échanges de lettres avec Carl Friedrich Gauss et sa collaboration avec Adrien-Marie Legendre participent néanmoins à la naissance de la théorie des nombres, dont un des succès les plus retentissants est sans doute la preuve complétée par Andrew Wiles en 1994 de l’énoncé de Fermat !
Qu’est ce que le cycle « Un texte, une aventure mathématique » ?
Les conférences du cycle « Un texte, une aventure mathématique » mettent en lumière les recherches mathématiques actuelles en les replaçant dans leur contexte historique. Ces conférences sont gratuites et destinées aux classes de première et terminale ainsi qu’au grand public. La participation des élèves se fait sur inscription :
Collective, par les enseignants pour leurs classes (location de car possible) ;
Individuelle, pour les élèves inscrits à titre personnel.
Il est également possible de rencontrer un chercheur ou une chercheuse en mathématiques pour échanger sur son parcours et son sujet de recherche. Enfin, une visite guidée du site François-Mitterrand (1h30) peut être réservée à 16h30 avant la conférence, prévue à 18h au Grand auditorium.
Ce cycle est co-organisé par la Société Mathématique de France et par la Bibliothèque nationale de France.
Résumé de la conférence
Irénée-Jules Bienaymé est inspecteur général des finances dans la première moitié du 19e siècle, après avoir fait des études en probabilités. Sa carrière administrative l’amène à s’intéresser de près aux questions de mortalité dans la société française en général. En parallèle de sa carrière administrative, Bienaymé est un fervent défenseur du calcul des probabilités tel que développé par Laplace, dont il continue l’oeuvre. Il critique vertement les travaux qui en font un usage qu’il juge dévoyé et excessif.
La question de l’extinction des familles de l’aristocratie française lui fait poser les bases en 1845 de ce qui s’appelle actuellement le processus de Bienaymé-Galton-Watson. Ce processus représente l’évolution simplifiée des générations successives d’une famille et il est alors possible de calculer la probabilité qu’elle s’éteigne. Passé complètement inaperçu à l’époque (il sera redéfini de manière indépendante par Galton et Watson dans les années 1870), ce modèle est un premier pas vers les processus de branchement.
Dans cet exposé, nous évoquerons la carrière de Bienaymé, le processus de Bienaymé-Galton-Watson plus en détail, ainsi que d’autres exemples plus récents de processus de branchement.
Ouvertes aux lycéens volontaires de première de toutes séries de l’enseignement public et privé sous contrat, les olympiades nationales de mathématiques permettent d’aborder autrement les mathématiques et de souligner leur lien avec les autres sciences.
L’épreuve écrite (4 heures) est composée de deux parties de deux heures chacune le même jour : deux exercices communs à toutes les académies, et deux exercices spécifiques à leur académie ou région académique. Ces exercices couvrent les programmes enseignés au collège, en seconde générale et technologique, ainsi que des éléments communs des programmes enseignés dans diverses classes de première. Ils abordent également, pour les élèves en spécialités mathématiques de lycée général, des notions de leur programme. Les deux parties sont indissociables et séparées d’un intermède de cinq à quinze minutes.
Les olympiades nationales de mathématiques ne sont pas organisées par l’association Animath. Pour toutes question veuillez vous referez à votre enseignant·e·s.
Le calendrier 2026
20 février 2026 : clôture des inscriptions en académies.
17 mars 2026 : épreuve écrite (4 exercices en 4 heures) en individuel et par équipes si possible mixtes (de 2,3 ou 4), selon cursus (technologique, général, général spécialité mathématiques).
18 mars 2026 : épreuve écrite (4 exercices en 4 heures) en individuel et par équipes si possible mixtes (de 2,3 ou 4), selon cursus (technologique, général, général spécialité mathématiques).
Mai 2026 : réunion du jury national.
Mai-Juin 2026 : cérémonie de remise des prix académiques et nationaux.
Ouvertes aux lycéens volontaires de première de toutes séries de l’enseignement public et privé sous contrat, les olympiades nationales de mathématiques permettent d’aborder autrement les mathématiques et de souligner leur lien avec les autres sciences.
L’épreuve écrite (4 heures) est composée de deux parties de deux heures chacune le même jour : deux exercices communs à toutes les académies, et deux exercices spécifiques à leur académie ou région académique. Ces exercices couvrent les programmes enseignés au collège, en seconde générale et technologique, ainsi que des éléments communs des programmes enseignés dans diverses classes de première. Ils abordent également, pour les élèves en spécialités mathématiques de lycée général, des notions de leur programme. Les deux parties sont indissociables et séparées d’un intermède de cinq à quinze minutes.
Le palmarès et les remises de prix
Chaque académie corrige les copies et établisse un palmarès. Elles organisent ensuite des remises des prix académiques. Elles transmettent au groupe national les meilleures copies, le palmarès et les énoncés des exercices.
Le groupe national établit alors le palmarès national. Des prix sont attribués pour les participations individuelles, d’autres pour les travaux en équipes.
Une cérémonie de remise des prix nationaux est ensuite organisé par le ministère et les différents partenaires. Les meilleurs lauréats nationaux peuvent obtenir des bourses pour des universités d’été ou des stages d’entraînement à d’autres compétitions mathématiques.
Le calendrier 2026
20 février 2026 : clôture des inscriptions en académies.
17 mars 2026 : épreuve écrite (4 exercices en 4 heures) en individuel et par équipes si possible mixtes (de 2,3 ou 4), selon cursus (technologique, général, général spécialité mathématiques).
18 mars 2026 : épreuve écrite (4 exercices en 4 heures) en individuel et par équipes si possible mixtes (de 2,3 ou 4), selon cursus (technologique, général, général spécialité mathématiques).
Mai 2026 : réunion du jury national.
Mai-Juin 2026 : cérémonie de remise des prix académiques et nationaux.
Le Tournoi Français des Jeunes Mathématiciennes et Mathématiciens existe depuis 2011. Il est organisé par Animath, en collaboration avec de nombreuses structures d’enseignement supérieur et de recherche. Ce tournoi est destiné aux élèves de lycée.
Le TFJM² est une compétition par équipe qui porte sur des problèmes de recherche mathématique. Une liste contenant 8 problèmes est publiée chaque année en novembre-décembre. Ces problèmes sont issus de travaux de recherche. Ils n’admettent, à la connaissance du jury, pas de solution complète mais donnent lieu à des éléments de recherche. C’est-à-dire que leurs auteurs sont certains qu’un travail de recherche élémentaire peut être mené sur ces problèmes. De plus ils sont accessibles à des lycéen·ne·s même s’ils peuvent requérir des connaissances pas encore abordées.
Ce RJMI est destiné aux jeunes filles scolarisées en classe Première et Terminale motivées et intéressées par les mathématiques et/ou l’informatique. Tous les frais de transport, d’hébergement et de restauration sont pris en charge.
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