OIM 2014 : En route pour Le Cap (jour 1)

Aprés avoir bénéficié du soutien d’illustres collègues , l’équipe de France s’est embarquée pour Le Cap, via Johannesburg, en Afrique du Sud.

Si le périple en RER fut rapide et sans anecdote notable, nous eà»mes heureusement la joie d’apprendre dés l’enregistrement des bagages que notre escale à  Johannesburg ne serait pas de tout repos : elle ne l’a pas été. En effet, les règles en usage en Afrique du Sud étant trés astucieuses, nous avons eu 1 h 30 (en fait un peu plus, car le vol pour Le Cap est parti en retard) pour :

  1. passer le contrà´le d’identité à  la frontière sud-africaine (n’oubliez pas d’enlever vos lunettes lors du contrà´le !) ;
  2. récupérer nos bagages ;
  3. passer à  la douane (en zone “Rien à  déclarer”, bien sà»r) ;
  4. réenregistrer nos bagages ;
  5. suivre l’employé de South African Airlines qui nous avait été envoyé pour trouver au plus vite le terminal d’embarquement, et ce avant même d’avoir terminé l’étape 4 ;
  6. subir un nouveau contrà´le des bagages à  main ;
  7. embarquer effectivement.

Si les étapes 6 et 7 n’avaient rien de surprenant pour une escale, le fait de devoir récupérer nos bagages pour les réenregistrer aussità´t (enfin… 10 minutes plus tard) sans rien en faire entre deux en a surpris plus d’un.

Et c’est justement dans la précipitation de l’étape 4 que la compagnie South African Airlines a acheminé la valise d’Adrien vers le mauvais vol Johannesburg – Le Cap. à€ l’arrivée, il a donc eu la chance de voyager léger ; heureusement, les systèmes d’information de la compagnie aérienne sont trés bien faits, et nous avons donc appris trés vite que la valise avait mal acheminée mais non pas perdue ! D’ailleurs, Adrien s’est montré trés heureux quand on la lui a rapportée ce soir, au moment o๠il montait vers sa chambre avec son oreiller pour objectif n°1.

Nous avons finalement dit au revoir à  Pierre, qui, avec un peu de chance, éprouve déjà  l’exaltation immense de lire en avant-première une multitude d’exercices de la “short list”. L’hà´tel Once in Cape Town , o๠nous résidons désormais pour trois jours, nous avait dépéché un minibus, et nous sommes donc arrivés tranquillement au Cap.

La ville est tout en collines verdoyantes au bord de la mer, la vue depuis la route que l’on suivait depuis l’aéroport nous offrant un panorama magnifique. Je n’ai pas eu le réflexe de sortir mon appareil photographique à  ce moment-là , et vous devrez donc vous contenter de cette colline dont le sommet est perdu dans les nuages…


Quelques récréations mathématiques et pizzas plus tard, nous voilà  tous sur le point de nous coucher : si, à  l’instar de nos camarades footballeurs, l’équateur a été pour nous un obstacle vite oublié, la nuit en avion n’a pas été des plus réparatrices…

à€ demain , dés 8 h 30, pour un petit-déjeuner qui nous aura redonné la force de poursuivre nos aventures !