Promenades et conférences

Les promenades mathématiques mêlent conférences et ateliers dans l’optique de débarrasser les mathématiques de leur image de discipline scolaire qu’elles portent auprès des jeunes ou du grand public. Elles ont pour but de rendre la discipline vivante au travers de ses grandes avancées historiques ou de ses découvertes récentes.

Elles sont accueillies par les établissements scolaires ou culturels qui peuvent les choisir sur la base d’un catalogue électronique. Un agenda annonce les promenades sur le site de la SMF. Les établissements reçoivent des affiches pour annoncer l’événement dans l’établissement.

D’autres dispositifs de cycle de conférence existent : cycles des universités ouvertes, comme c’est le cas à  Lyon (avec 20 conférences programmées dans le cycle 2010-2011) oà¹ à  l’université pour tous de Rouen, conférences organisées par les CCSTI ou la Cité des sciences et de l’industrie, des dispositifs régionaux (Mathématiques itinérantes par l’université Lille 1, séminaire de vulgarisation de la fédération de recherche Normandie-Mathématiques), conférences portées par l’association Kangourou (une vingtaine annuelle), nombreuses conférences présentées à  titre individuelle…

Les informations qui suivent ne concernent que les promenades organisées par Animath et la SMF et ne sont donc pas représentatives du volume annuel des promenades.

Informations pratiques

Fréquence : Animath et la SMF ont organisé 14 promenades en 2008, 16 promenades en 2009 et 19 promenades en 2010 et 32 promenades sur le premier semestre 2011.

Porteurs principal : Animath, SMF.

Partenaires scientifiques et pédagogiques : CNRS-INSMI, départements et laboratoires de mathématiques (institut Camille Jordan, LMRS, LAMFA, IMB…), Kangourou sans frontières.

Mesure de l’impact

Comme les informations ne sont pas centralisées, il est impossible d’évaluer l’impact des dizaines de promenades qui sont organisées annuellement.
A titre d’exemple non représentatif, les promenades organisées par Animath et la SMF ont quant à  elles touchés entre 4500 et 5000 personnes (en majorité des lycéens) depuis 2008.